Occupé, très, mais en paix aussi. Bien assis à la table de l'appart Montréalais, un troisième café à ma gauche, entre mon laptop mini et mon autre en cours d'installation (je passe du 12" au 15"). Indicatif présent à la radio, une grosse soumission en cours de finalisation, une liste des tâches de la semaine bien en ordre, classée, triée, priorisée, une vingtaine d'items quand même, on ne s'ennuie pas...
Semaine en mode "sans les enfants", après un long weekend de chalet vendredi (merci Joss!) et samedi à St-Sauveur. C'est dommage d'avoir oublié l'appareil photo, l'image des 5 snowboards planté dans le banc de neige au chalet résumait tellement bien le week-end. J'entends à l'autre bout de l'appart (long couloir typique de ce type de logement sur le Plateau), elle travaille: coordonne, monte, dvd brûle, gère. J'aime bien l'entendre ainsi. Bon je retourne à mes documents importants là.
Bon, j'ai mis dans mon horaire de blogguer à chaque jour. Ici, sur
afrog et sur
le nouveau blog au boulot. Sur
FACIL aussi, pas à chaque jour mais plus souvent, on préapare une grosse conférence pour le mois de Mai. J'ai plein d'affaires à raconter il me semble. On se reparle plus tard, avec des affaires un peu moins plates, selon moi, c'est un billet un peu drabe ce matin, mais je voulais lancer ma semaine avec un billet du lundi matin...
Enligné la musique et les doigts sur le clavier.
Pat a bien raison, faire ce que l'on aime, c'est un raccourcis vers le bonheur. Demain je vous raconte notre longcourcis de samedi, détour heureux de plus d'une heure en chemin vers la montagne.
(Les plus astucieux auront remarqués que le lien vers Pat - que je surnomme commme si on avait élevés les cochons ensemble - c'est juste du
link whoring parce qu'il est chroniqueur pour le plus grand quotidien français d'amérique du Nord. Non mais, je ne lis jamais son journal version papier, mais via blog, hey, c'est comme juste pas pareil man! Avec
Matthieu,
JF Coderre et
Martine qui chroniquent et bloguent, c'est presque gênant... bon il y a bien
le blog de Joblo au devoir, mais je le trouve plate et les commentaires sont fermés, parle moi de ça une ambiance si asceptisée...
if you can't stand the heat, get out of the kichen! Je pense que je suis en forme pas pire, si on en juge par la longueur de mes commentaires parenthésiques, d'ailleurs, vous l'aurez remarqué puisque vous faites partie des astucieux lecteurs, que la parenthèse, les points de suspensions et les points d'exclamations font partie de ce qui définit mon style littéraire si particulier, tel qu'il le sera noté dans un quelconque cours à l'UQAM en 2015 quand ils étudieront les premiers blogues Québecois... hehe!)