Le pragmatique romantique

Ou l'inverse.

2005/11/09

 

Chers et chères lecteurs et trices...

Ah chers lecteurs et trices, comme je m'ennuyais de vous! Non mais vraiment. Mais me revoici. Je suis de retour. Me semble.

Oui, oui, j'y suis. Bien installé à mon clavier de laptop, à la table de cuisine. Mme Bazzo dans mes speakers, version baladodiffusée, interview de Françoise David, un peu trop sérieux mais nécessaire, quand même, l'implication citoyenne. Mais ces sujets sérieux c'est pour plus tard. Là, j'ai l'esprit léger. Cabotin. Terminé les devoirs. La vaisselle. Le lavage. Toutes ces affaires là de la maison. Terminé ma semaine avec mes flots, en fait ça se termine demain matin. Ensuite je passe à un autre mode. Où je suis déjà un peu ce soir...

Ah merde, c'est trop sérieux comme fond sonore là. Un instant, je reviens. Pas que c'est pas intéressant, mais je feel autrement, ok? Shuffle. Basket Case de Green Day. Pas mal. Y'a pas de hasard. C'est pas la première fois que cette chanson est thème de billet :
Do you have the time
to listen to me whine
About NOTHING and EVERYTHING
all at once
I am one of those
Melodramatic fools
Neurotic to the bone
No doubt about it
C'est ça. Mais anyway, vous ne vous attendiez pas à autre chose, non? Donc. Hehe. Donc, comme si j'avais plein de logique et de progression prédéfinie dans ce billet. Comme si. J'me trouve drôle de tant de prétention pourtant absente. J'ai plein d'affaires à vous raconter. J'espère que vous être pas pressés. Moi je suis un peu fatigué, mais dans un état second là, du plaisir d'écrire, de savoir que mes trucs essentiels de maison sont finis (quand même pris le temps d'écouter les invicibles, en pliant du linge, c'est à ça que ça sert la télé pour moi), j'ai tout plein d'affaires de travail à faire, mais ça fait un bout de temps que j'ai appris à faire la paix avec ça, écrire sur mon blogue même si j'ai du travail à faire, question d'équilibre. C'est complémentaire finalement. Écrire ici, ça me permet de travailler sur des trucs sérieux et importants ensuite. Ne pas écrire, pour moi, c'est contre-productif. Heureusement que j'ai un environnement de travail qui permet ça. Comme si j'étais pour choisir le contraire, comme si.

Enjoy the Silence, Remix. Pas pire, flashback du 13ème Ciel, où je sortais il y a très jadis. Secondaire 3-4 genre. Ouille, je suis vieux. Next. Next, next, next, next, next. Je veux une chanson propice là. Ma vie à l'heure des respectables. Pas pire, mais pas encore ça. Next encore 6 fois. Ahhh! Plastic Bertrand. Ça plane pour moi. That's it! Je feel en plein de même! Comme un indien dans son igloo! (...) Limé, ruiné, vidé, comblé, you are the king of the divan, qu'elle me dit en passant... Ça plane pour moi, moi, moi, moi, moi, ça plane pour moi... ça plane pour moi. Fuck. Aussi égomanique que moi ce Plastic. Moi je ferais un cover de ça, Mettalic Bertrand. Vous entendez les guitares électriques et les trompettes ska sur mon remake? Pure déconnade ce soir. Ça fait du bien. Trop de bonne musique. Je suis dû pour un podcast moi là, aussi... oui et du vlogging, parce que tsé, je peux maintenant, j'ai une blonde full vidéo...

Mais bon de quoi je voulais vous parler déjà? De la spirale du bonheur? Du fait que mon espoir de solitude temporaire est comblé? Que le temporaire est fermé? Que mon espoir est heureux? Que ma solitude n'est plus? Oui, oui, tout ça. Dans le prochain billet. Je vous raconte mon dernier samedi. Rencontre avec les beaux-parents. Digne d'une pièce de Claude Meunier. Absurde, vrai et heureux. Du bonheur en répliques croisées. C'est ça. J'écris ça tout de suite là, c'est juste une question de permalien et de séparer me billets par sujets. Je fais le geek là. Je m'ennuie de afroginthevalley.com. Ça va revenir, ça avance. Merde c'est compliqué ces affaires d'internet là. Tout le contraire de ma relation avec Yannick. J'ai peut-être quelque chose à comprendre là dedans. Mais pas ce soir. Publish post. En fait, copy-paste de NVU, www.blogger.com, login et password, nouveau message, paste. Ha. Voilà. Ajouter le titre. Publish post. Sur une voix de Robin Williams : "goooooooood morning internet!". Genre. Comme. Tsé. Prochain billet. À suivre!

Comments:
Ça fait du bien de te lire à nouveau! :)
 
Ouais. Je vais tenter de moins vous négligez là. Notez que le verbe n'est pas conjugué à l'impératif. Hehe.
 
Je faisais une recherche sur le 13ieme ciel, une disco que je frequentais a mtl, quand je suis tombe sur ton blog. T'aurais pas une photo du 13 par hassard? Une foto de l'exterieur un interieur? Peut-etre tu peux la poster sur ton blog ou me diriger vers une autre source?

Merci
 
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