Le soleil sur ta peau est feu supplémentaire
de ton ventre brûlant
La lumière du nord crue et belle, odeurs de terre
de ta peau si tendue
Feuilles qui tombent en rideau dans la verrière
de ta silhouette vive
Arbres dénudés mais dignes de leurs branches altières
tes bras vers le ciel
Mousse riche et tant de vert de tant de rouge et tant de luxure
tes cuisses et ton miel
Froid de l'automne dans nos pores ses divines morsures
ton coeur qui se dérive
Bonheur imbécile de la simplicité volontaire qui perdure
musique pour toi entendue
Lotus de paix, oasis surprenant, chaleur dans la froidure
mon espoir délirant