Ça, c'est inspiré par ce texte là. Peut-être une antithèse, mais je n'en suis pas certain. Un exercice intéressant à tout le moins. Ça aide d'avoir l'autre texte en parallèle ça suit la forme du premier en grande partie. Je sais, la métaphore du chasseur nomade vs le sédentaire qui sème, c'est pas trop fort, mais bon, c'est fait en 20-30 minutes maximum comme exercice!Mon ventre creux de pas rassasié,
me fait douleur énervante,
mes yeux allumés,
de rêve points consommés,
ne sont ourdis d'aucune trêve méchante.
Le temps en continu,
entre solitude et candeur,
peu rapace et sans émeute,
bien peu pour moi le tordeur.
En mes trippes de fou,
je ne suis que doux,
sain malgré tout,
lucides et voyant tous les soirs.
Errant à tous les vents,
sans savoir y'est quelle heure,
incapable de poursuivre mes élans,
aveuglés de ceux m'entourant,
et naïf de ce qui semble si important.
Se défaire, calvaire,
déplaire, mal faire.
Pour mieux refaire.
Pour arrêter de s'en faire.
Pour être plus faible.
Comme ça, comme plèbe.
De mes plans imprévus
de mon improvisation déjà vue,
j'me suis moi-même vaincu,
ébloui et tant convaincu.
Et celles que je devrais,
celles que je voudrais,
célébrez mes victoires
déclarer mes déboires.
Rien de tout ça, non rien.
J'ai pas compris, j'ai pas su.
Rien de tout ça, non rien.
J'ai rien vu, j'ai pas voulu.
Moi qui voulait semer à tout hasard,
au p'tit bonheur, sans étendard.