Le pragmatique romantique

Ou l'inverse.

2005/07/12

 

Manifeste d'un trop plein de complaisance masculine...

Il y a Carl qui déconne sur son blog, et j'ai pondu une réponse trop longue dans ses commentaires que je reposte ici, lire son billet original et les commentaires pour saisir le sens et ma montée de lait...
Bullshit. Ok? Bullshit! Tant pis pour les gars qui deviennent gaga devant les filles intéressantes (ce qui reste encore à qualifier).

Tant pis pour eux, non? Si un gars n'est pas capable de porter 50 ans de féminisme, si un gars ne sait pas bâtir des relations avec les femmes en 2005 basées sur autre chose que son inconfort devant la jolie demoiselle, il n'a que ce qu'il mérite, le whippet!

Si les femmes connaissent notre faiblesse (en théorie), c'est parce qu'on a pas su les prendre ou elles sont rendues. Fuck it. La femme qui feint, en général elle ne feint pas très bien.

Moi j'aime celle qui assume. Celle qui sait qui elle est et qui se confronte avec qui je suis. Sans compromis de miel ou de fiel. La soumission, c'est aussi poche dans un sens que dans l'autre.

Et puis les minois si jolis, ça fait un temps. Pas que ça ne soit pas une partie intégrale de l'ensemble, mais on ne serait pas rendu juste un peu plus loin me semble?

Des envies et des désirs, moi je les combuste et combines avec les passions, les étincelles dans les yeux et le sens de la répartie, ce qui inclut les pointes acérées que je peux recevoir quand je m'avance dans un territoire intime. J'assume bordel.

Et ça m'allume aussi. Mais pas en minus. D'égal à égal. Avec tous les deux des armes tranchantes et à ne pas utiliser sans la supervision d'adultes matures. Et à se savoir à fleur de peau. Et à se savoir fort. Et à se savoir fragile. Et à se savoir plus que ce qu'on aurait aimé faire de nous mais qu'on a pas réussi encore (on est idéaliste un peu).

C'est un manifeste là, hein? Désolé de déposer ça ici, j'ai pas pu me retenir. J'en porterais moi-même les éclats sur mon espace personnel, quand même...
Donc voilà. Je suis un peu tanné là, ça paraît?

Comments:
Peut-être que je comprends mal cette subite montée lactée. Peut-être que j'interprête mal tes écrits. Peut-être que je n'ai pas saisi l'essentiel.

Mais quand je lis un billet comme ça et l'histoire du bon beigne sucré qui s'est transformé en café... ça me démontre que Kante est peut-être pas dans le champ tant que ça ;-)
 
oups! Mauvais lien!

Je parlais bien entendu du billet sur la grosse soirée de rien pentoute.
 
Non, pas vraiment. Je pense qu'il y a une bonne différence entre perdre tout ses moyens et décider de ne pas vouloir être celui qui mange des gros beignes sucrés quand on ne fait pas ça d'habitude. Mais bon, effectivement, ce n'est pas facile d'être clair par écrit, les nuances sont parfois perdues et les évidences disparues.
 
C'est bien ce que je disais :) Entre tes écrits, ceux de l'autre, tout ce qui se trouve entre les lignes et ce qu'on y injecte aussi parfois, pas étonnant qu'il arrive qu'on se rentre le doigt dans l'oeil jusqu'au coude ;-)
 
Je voudrais juste préciser une chose. Parce qu'il semble que mes propos aient eux aussi été mal interprètés. Pas forcément par toi. Néanmoins, j'aimerais préciser afin que les choses soient claires.

Je n'avais perçu dans le blog de Kante la relatation (ça se dit ça?) d'un état de fait qui arrive parfois, aux hommes, aux femmes. Un truc mignon, à faire sourire, sans plus. Je n'ai pas trop compris pourquoi ça te mettait dans cet état. Il me semblait que ça t'arrivait aussi (l'histoire du beigne qui m'avait bien fait sourire moi). En fait, il me semble que ça arrive à tout le monde un moment donné et qu'on aurait tous une ou deux bonnes anecdotes rigolotes à raconter sur le sujet.

J'avais souri à l'histoire de ton beigne et à ta réaction. J'avais voulu te retourner le sourire, la légèreté et le côté "cute" et innofensif de ce genre d'anecdotes.

J'ai soulevé le point, non pas pour narguer ou te le remettre sur le nez et surtout pas par mesquinerie. Tout au plus comme une piquouille amicale, une bine sur l'épaule. Pas une leçon de morale!

C'était probablement malhabile de ma part. Je me pensais ben comique. Je me suis probablement mis le pieds dans la bouche (ou plutôt le doigt dans la craque du clavier).

C'est souvent ce qui se passe quand on est novice mais qu'on veut jouer dans la cour des grands ;-)
 
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