C'est irrésistible. Ça commence de manière toute anodine, mais ça plante ses racines, ça turlupine, ça travaille, ça démange, ça fait son chemin, ça part, ça revient.
Ça se développe. Ça se corse. Ça s'envenime. Ça m'obsède. Ça me possède. Ça me hante. Alors quand je suis à bout, j'écris.
Quand ça naît en moi une histoire, c'est souffrant et joussif. J'achève de souffrir
le thème de la semaine en ce moment, j'aime ce qui se pointe le bout du nez sous mon clavier! C'est sociétalement acide j'oserais même néologismer...