Parfois, tard le soir, très tard,
je songe à la mort qui me hante.
Parfois, dans le noir, tintamarre,
ma tête explose, implose, torture lente.
Seul à ma table, branché au monde,
Parmis tant de gens, isolement.
Cherchant qui, à l'autre bout du monde, ou presque,
répondra et s'émerveillera de mes fresques,
pourquoi je ne sais, ni comment,
certitude s'il en est une, l'instant d'une seconde...